Pourquoi dit-on natures « mortes » ?
Les archives sont-elles mortes ou endormies ?
Inspirées de recherches, de collectes de documents et d’accumulations d’objets, je développe des compositions photographiques à la manière d’un genre pictural reconnu : la nature morte. Les éléments entrent en résonance les uns avec les autres et à la manière d’indices oubliés, ils forment une nouvelle grille de lecture à déchiffrer par l’œil enquêteur du regardeur. Les archives offrent leurs secrets à qui les réveillent.
Afin de contrebalancer le poids de ces histoires, les Archives Mortes sont présentées dans l’installation Images Lourdes Suspendues.